AU COUARAIL
23 novembre 2013 Laisser un commentaire
A George Chepfer.
n cougnat renfoncé en l’un quelconque de nos villages lorrains.
De l’ombre grise s’étend, grâce à des auvents, à de larges volets, à un grand mur tout décrépi où l’on suspend des poignées de blé de Rome, où l’on adosse des tonneaux vides et des chariots démantibulés.
Et plus loin, au-delà d’un caniveau boiteux où stagne, au soleil de juillet, un peu de noir purin, venu des gros fumiers entassés sur le devant des maisons, c’est la route, la grand’route qui mène au village voisin, le chemin poudreux baigné de lumière où passent les gens, les bêtes et les Lire la suite
Commentaires récents